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Pour les œuvres prochainement exposées au Salon de l’art contemporain de Montpellier, l’artiste est partie d’un processus particulier qui lui est cher : concevoir des moulages de corps, intégrer ces formes à l’architecture d’un lieu ficitf, à travers une maquette. Durant ses recherches, elle s’est aperçue qu’en disposant ses modèles sur un drap noir, cela donnait lieu à une photo particulièrement onirique, où les modèles semblent flotter dans l’espace, à l’instar de cosmonautes. Les tâches de plâtre blanches se meuvent en constellation d’étoiles.
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